Thaïlande : du 14 au 20 mars :
Le voyage est long et fatiguant entre la Nouvelle-Zélande et la Thaïlande. Partant d’Auckland à 12h30 (6h30 heure de Thaïlande) le samedi, nous débarquons à notre hôtel le lendemain vers 10 heures après trois vols et très peu ou pas de sommeil. Seul Alex, dans l’aéroport de Bangkok en attendant le vol vers celui de Phuket, réussit à aménager un lit avec nos valises et à s’endormir. Pour les autres c’est une nuit passée à attendre en mangeant quelques sushis accompagnés de bière et de café. Mais on ne va pas se plaindre car dès notre arrivée sur le continent asiatique, deux de nos compatriotes et parents d’un vague ami nous accueillent chaleureusement.
Ce sont donc Rémy et Paquita qui vont guider nos deux premiers jours à Khao Lak, un lieu perché au nord de Phuket et dévasté par le tsunami de 2004, en commençant par l’essentiel : où se sustenter ? Ils nous indiquent donc un endroit où il est possible de manger des Phad Thaï ou Khao Phat franchement délicieux. Puis, nous les suivons dans les magasins et observons avec assiduité les négociations de prix car Carole a vite repéré quelques bonnes affaires ! Quelques conseils sur les bonnes manières locales et la conduite des deux roues. A ce sujet, en Thaïlande il est possible de monter à trois voire quatre sur un scooter mais le casque est obligatoire pour le conducteur seulement. Premier jour en scooter et trois cent baths d’amende pour Vincent pour non port de casque, ça commence bien ! Enfin, quelques mots thaïs appris de Rémy et nous voilà prêt à plonger pendant un mois et demi dans l’aventure asiatique. Les deux jours très sympathiques passés en leur compagnie et leurs conseils nous permettent de gagner beaucoup de temps sur notre adaptation.
Ainsi et très vite, nous avons nos habitudes alimentaires chez la nouvelle amie d’Alex. En effet, il ne se passe pas une journée sans qu’il ne doit goûter un fruit exotique, un plat, des pâtes d’amande,… il n’y en que pour lui ! Parfois, il lui est difficile de tout avaler mais il lui est impossible de refuser. La plage, indiquée par Rémy et Paquita, fait aussi partie de nos occupations quotidiennes et nous en profitons pour nous amuser avec les belles vagues de l’océan indien dont la température de l’eau est surréaliste et nous change de la Nouvelle-Zélande. Seule une méduse vient gâcher une fin d’après-midi d’Enzo dont la main le fera souffrir pendant quelques minutes mais ne l’empêchera pas de contempler un magnifique coucher de soleil. Le long de cette plage se trouve un restaurant abandonné, vestiges du tsunami 2004 dont les garçons vont observer l’ampleur des dégâts et ont du mal à imaginer que c’est une vague de plus de 16 mètres qui est passée par là.
Le lendemain, c’est la visite d’un temple que nous avons réussi à intégrer dans notre programme surchargé par la plage et la piscine de l’hôtel. Les dorures des monuments sont impressionnantes. Nous y croisons de nombreux moines venus se recueillir. Il est aisé de constater l’importance de la religion bouddhiste ici en voyant le très grand nombre de temples ou les sortes d’autels présents devant les maisons, dans les hôtels ou sur le bord des routes.
Le lendemain, nous nous essayons à la négociation dans les boutiques en effectuant quelques achats. On se prend au jeu et il nous semble avoir fait quelques bonnes affaires. C’est une réunion de boxe thaïe qui anime notre vendredi soir. Les garçons, car Carole craint de trouver cela trop violent, se rendent à la salle de boxe pour assister à huit combats. Certes les quatre premiers concernent essentiellement des enfants (garçons ou filles) de 10 à 14 ans environ et n’ont que très peu d’intérêt. Le reste de la soirée offre deux combats intéressants, mais c’est tout l’environnement, la musique accompagnant le combat et la danse rituelle (ram muay) des combattants qui interpellent. Quant aux combats en eux-mêmes, et aux vus des tarifs pratiqués et du nombre de touristes, cela ressemble plus à des démonstrations même si deux KO et quelques arrêts de l’arbitre, nous rappellent que c’est une des boxes les plus dures et les plus exigeantes.
Le voyage est long et fatiguant entre la Nouvelle-Zélande et la Thaïlande. Partant d’Auckland à 12h30 (6h30 heure de Thaïlande) le samedi, nous débarquons à notre hôtel le lendemain vers 10 heures après trois vols et très peu ou pas de sommeil. Seul Alex, dans l’aéroport de Bangkok en attendant le vol vers celui de Phuket, réussit à aménager un lit avec nos valises et à s’endormir. Pour les autres c’est une nuit passée à attendre en mangeant quelques sushis accompagnés de bière et de café. Mais on ne va pas se plaindre car dès notre arrivée sur le continent asiatique, deux de nos compatriotes et parents d’un vague ami nous accueillent chaleureusement.
Ce sont donc Rémy et Paquita qui vont guider nos deux premiers jours à Khao Lak, un lieu perché au nord de Phuket et dévasté par le tsunami de 2004, en commençant par l’essentiel : où se sustenter ? Ils nous indiquent donc un endroit où il est possible de manger des Phad Thaï ou Khao Phat franchement délicieux. Puis, nous les suivons dans les magasins et observons avec assiduité les négociations de prix car Carole a vite repéré quelques bonnes affaires ! Quelques conseils sur les bonnes manières locales et la conduite des deux roues. A ce sujet, en Thaïlande il est possible de monter à trois voire quatre sur un scooter mais le casque est obligatoire pour le conducteur seulement. Premier jour en scooter et trois cent baths d’amende pour Vincent pour non port de casque, ça commence bien ! Enfin, quelques mots thaïs appris de Rémy et nous voilà prêt à plonger pendant un mois et demi dans l’aventure asiatique. Les deux jours très sympathiques passés en leur compagnie et leurs conseils nous permettent de gagner beaucoup de temps sur notre adaptation.
Ainsi et très vite, nous avons nos habitudes alimentaires chez la nouvelle amie d’Alex. En effet, il ne se passe pas une journée sans qu’il ne doit goûter un fruit exotique, un plat, des pâtes d’amande,… il n’y en que pour lui ! Parfois, il lui est difficile de tout avaler mais il lui est impossible de refuser. La plage, indiquée par Rémy et Paquita, fait aussi partie de nos occupations quotidiennes et nous en profitons pour nous amuser avec les belles vagues de l’océan indien dont la température de l’eau est surréaliste et nous change de la Nouvelle-Zélande. Seule une méduse vient gâcher une fin d’après-midi d’Enzo dont la main le fera souffrir pendant quelques minutes mais ne l’empêchera pas de contempler un magnifique coucher de soleil. Le long de cette plage se trouve un restaurant abandonné, vestiges du tsunami 2004 dont les garçons vont observer l’ampleur des dégâts et ont du mal à imaginer que c’est une vague de plus de 16 mètres qui est passée par là.
Le lendemain, c’est la visite d’un temple que nous avons réussi à intégrer dans notre programme surchargé par la plage et la piscine de l’hôtel. Les dorures des monuments sont impressionnantes. Nous y croisons de nombreux moines venus se recueillir. Il est aisé de constater l’importance de la religion bouddhiste ici en voyant le très grand nombre de temples ou les sortes d’autels présents devant les maisons, dans les hôtels ou sur le bord des routes.
Le lendemain, nous nous essayons à la négociation dans les boutiques en effectuant quelques achats. On se prend au jeu et il nous semble avoir fait quelques bonnes affaires. C’est une réunion de boxe thaïe qui anime notre vendredi soir. Les garçons, car Carole craint de trouver cela trop violent, se rendent à la salle de boxe pour assister à huit combats. Certes les quatre premiers concernent essentiellement des enfants (garçons ou filles) de 10 à 14 ans environ et n’ont que très peu d’intérêt. Le reste de la soirée offre deux combats intéressants, mais c’est tout l’environnement, la musique accompagnant le combat et la danse rituelle (ram muay) des combattants qui interpellent. Quant aux combats en eux-mêmes, et aux vus des tarifs pratiqués et du nombre de touristes, cela ressemble plus à des démonstrations même si deux KO et quelques arrêts de l’arbitre, nous rappellent que c’est une des boxes les plus dures et les plus exigeantes.
Enfin et pour se remettre de leur éreintante semaine, Carole et Vincent décident de se délasser en se faisant faire un massage. Pour lever toute ambiguïté, ils y vont ensemble. Le résultat est vraiment très agréable comme le physique de la masseuse de Vincent… mais Carole se faisant masser à côté a veillé à ce qu’il n’y ait pas "dépassement d’honoraires". Il va s’en dire que l’expérience sera renouvelée durant notre séjour.