Thaïlande : du 13 au 20 avril :
C’est toujours au rythme du stage de Muay Thaï d’Alex et Enzo que nous organisons nos journées autour de Ya Nui. Toutefois, un jour férié vient interrompre cette forme de monotonie, Songkran. Propre à la Thaïlande, au Cambodge, au Laos et à la Birmanie, cette fête du nouvel an bouddhique est basée sur le calendrier lunaire ce qui la rend mobile dans le temps. Cependant pour faciliter l’organisation des réjouissances, elle est désormais fixée entre le 12 et 15 avril de chaque année. Et cette année, apparemment, le cycle lunaire a imposé la date du 13 avril. Il est alors très amusant de voir tout ce monde sur les routes de Phuket s’asperger abondamment d’eau (très fraîche) coutume locale dérivée en fait d’une ancienne tradition qui consiste, dans les familles, à verser de l’eau parfumée sur les mains des aînés et ainsi faire acte de respect. Ces effusions d’eau sont aussi le prétexte de se rafraîchir tout simplement pendant la période le plus chaude de la saison sèche. Et c’est une organisation impressionnante : pick-up équipés de réservoir d’eau alimentant une horde d’aqua terroristes activant leurs pistolets à eau et guettant votre passage pour vous inonder d’eau et de rires ! Ou encore ces camions citernes chargés de ravitailler les perturbateurs sur les bords des routes, ou enfin le stockage des pins de glaces afin de conserver la fraîcheur de l’évènement. Bien sûr, Alex et Enzo, grâce à la mise à disposition par leur camp de Muay Thaï d’un dispositif « d’arrosage », ont pris une part importante au mécontentement de touristes incrédules (il y en a toujours) mais surtout à la bonne humeur ambiante de cette journée durant laquelle l’arroseur finit toujours par être arrosé (on sait c’est facile).
Entre deux visites à « notre » plage de Naïharn et à la demande d’Enzo, nous partons découvrir le zoo de Phuket dont le seul intérêt réside dans ses trois shows, celui des singes, des éléphants et le très impressionnant spectacle des crocodiles. A part ça, l’état de ce zoo laisse plutôt dubitatif sur la condition de vie des animaux. Un zoo qui, par ailleurs, reste pauvre en quantité et en variété. Cette excursion est toutefois l’occasion pour Alex et Vincent de se frotter à un tigre menaçant mais très docile, et pour Carole et Enzo de poser avec un de leur proche cousin. Le soir, pour nous remettre de nos émotions de la journée, un apéro nous attend chez Joël et Joëlle en présence d’Annie et Michel avec qui nous finissons la soirée autour d’un verre au Sunshine Bar. Musique et alcool sont au programme ; un cocktail alimenté par des serveuses et serveurs animés par une envie de danser communicative à tel point que Carole et Joëlle finissent par « passer derrière le bar » et par danser aux sons de rythme pop de ces trente dernières années. Evidemment, la présence d’un katoy dans le personnel du bar, ajoute à cette soirée un parfum local, mais surtout, permet à tous, du fait des pitreries du transsexuel thaï, de passer une excellente soirée. Ce soir là, Alex et Enzo abandonnent le combat un peu plus tôt dans la soirée, préférant se reposer pour faire face aux entraînements de boxe quotidiens éprouvants et laisser Carole et Vincent profiter de leur soirée de débauche.
Le lendemain, c’est un tout autre plaisir que s’octroie la famille Landry. Non pas que la nourriture thaïe, dont nous sommes les premiers à vanter la qualité, ne nous satisfait plus mais pâtés, saucissons, jambons crus, ou encore fromages nous manquent terriblement par moment. C’est pourquoi, nous décidons ce jour là de combler cette absence trop longue de ces produits indispensables à un bon équilibre alimentaire en achetant à un prix déraisonnable quelques unes de ces denrées rares. Et c’est avec impatience et envie que nous passons à table, le tout arrosé par un petit vin rouge sans prétention mais dont la sensation reste très agréable pour les palais de Carole et Vincent. Un plaisir que l’on n’est pas à l’abri de renouveler.
C’est toujours au rythme du stage de Muay Thaï d’Alex et Enzo que nous organisons nos journées autour de Ya Nui. Toutefois, un jour férié vient interrompre cette forme de monotonie, Songkran. Propre à la Thaïlande, au Cambodge, au Laos et à la Birmanie, cette fête du nouvel an bouddhique est basée sur le calendrier lunaire ce qui la rend mobile dans le temps. Cependant pour faciliter l’organisation des réjouissances, elle est désormais fixée entre le 12 et 15 avril de chaque année. Et cette année, apparemment, le cycle lunaire a imposé la date du 13 avril. Il est alors très amusant de voir tout ce monde sur les routes de Phuket s’asperger abondamment d’eau (très fraîche) coutume locale dérivée en fait d’une ancienne tradition qui consiste, dans les familles, à verser de l’eau parfumée sur les mains des aînés et ainsi faire acte de respect. Ces effusions d’eau sont aussi le prétexte de se rafraîchir tout simplement pendant la période le plus chaude de la saison sèche. Et c’est une organisation impressionnante : pick-up équipés de réservoir d’eau alimentant une horde d’aqua terroristes activant leurs pistolets à eau et guettant votre passage pour vous inonder d’eau et de rires ! Ou encore ces camions citernes chargés de ravitailler les perturbateurs sur les bords des routes, ou enfin le stockage des pins de glaces afin de conserver la fraîcheur de l’évènement. Bien sûr, Alex et Enzo, grâce à la mise à disposition par leur camp de Muay Thaï d’un dispositif « d’arrosage », ont pris une part importante au mécontentement de touristes incrédules (il y en a toujours) mais surtout à la bonne humeur ambiante de cette journée durant laquelle l’arroseur finit toujours par être arrosé (on sait c’est facile).
Entre deux visites à « notre » plage de Naïharn et à la demande d’Enzo, nous partons découvrir le zoo de Phuket dont le seul intérêt réside dans ses trois shows, celui des singes, des éléphants et le très impressionnant spectacle des crocodiles. A part ça, l’état de ce zoo laisse plutôt dubitatif sur la condition de vie des animaux. Un zoo qui, par ailleurs, reste pauvre en quantité et en variété. Cette excursion est toutefois l’occasion pour Alex et Vincent de se frotter à un tigre menaçant mais très docile, et pour Carole et Enzo de poser avec un de leur proche cousin. Le soir, pour nous remettre de nos émotions de la journée, un apéro nous attend chez Joël et Joëlle en présence d’Annie et Michel avec qui nous finissons la soirée autour d’un verre au Sunshine Bar. Musique et alcool sont au programme ; un cocktail alimenté par des serveuses et serveurs animés par une envie de danser communicative à tel point que Carole et Joëlle finissent par « passer derrière le bar » et par danser aux sons de rythme pop de ces trente dernières années. Evidemment, la présence d’un katoy dans le personnel du bar, ajoute à cette soirée un parfum local, mais surtout, permet à tous, du fait des pitreries du transsexuel thaï, de passer une excellente soirée. Ce soir là, Alex et Enzo abandonnent le combat un peu plus tôt dans la soirée, préférant se reposer pour faire face aux entraînements de boxe quotidiens éprouvants et laisser Carole et Vincent profiter de leur soirée de débauche.
Le lendemain, c’est un tout autre plaisir que s’octroie la famille Landry. Non pas que la nourriture thaïe, dont nous sommes les premiers à vanter la qualité, ne nous satisfait plus mais pâtés, saucissons, jambons crus, ou encore fromages nous manquent terriblement par moment. C’est pourquoi, nous décidons ce jour là de combler cette absence trop longue de ces produits indispensables à un bon équilibre alimentaire en achetant à un prix déraisonnable quelques unes de ces denrées rares. Et c’est avec impatience et envie que nous passons à table, le tout arrosé par un petit vin rouge sans prétention mais dont la sensation reste très agréable pour les palais de Carole et Vincent. Un plaisir que l’on n’est pas à l’abri de renouveler.
Après deux semaines de stage de Muay Thaï au camp Prompthep Cape, Alex et Enzo se dirigent vers leur dernière séance d’entraînement ce mardi. C’est aussi l’occasion le soir de nous rendre à la salle Bangla de Patong pour assister aux combats de Jade, une Australienne du camp Prompthep Cape et de Siamchai, un des profs. Vincent accompagne Alex et Enzo vêtus de leur T-shirts à l’effigie du camp d’entraînement dans un des Pick-up affrété par celui-ci. Ce soir là, les paris vont bon train sur les combats mais lorsqu’arrivent ceux de Jade et de Siamchai l’attention d’Alex et Enzo et de leurs compagnons d’entraînement se pose sur le ring et les encouragements et cris ponctuant chaque coup porté par nos favoris descendent de nos gradins. Pour Jade, l’arbitre préfère stopper le calvaire de son adversaire à la troisième reprise et ainsi lui permet de conserver sa ceinture. Quant à Siamchai, c’est une décision discutable, scandaleuse pour Alex et Enzo, qui empêche notre favori de repartir avec la ceinture de son adversaire à l’issue d’un très intense combat mené à son terme. A notre très grande déception, les juges, dans leur décision, préfèrent donner la victoire au tenant du titre. Décision accueillie par les sifflets d’une grande partie de l’assistance… . En discutant avec les entraineurs, il semble malgré tout que cette défaite peut être en partie due à la tenue de paris qui provoquent parfois des décisions étonnantes.
Enzo s'ennuie terriblement pendant Songkran
Pas facile un trajet en voiture pendant Songkran !